Sarah Anaïs ANDRIEU
Dans le cadre de sa thèse de doctorat d’Anthropologie sociale et ethnologie intitulée « Performances et patrimonialisations du wayang golek sundanais (Java Ouest, Indonésie) », sous la direction de Jean-Loup Amselle (EHESS, septembre 2010, 1er Prix international UQAM-ResPatrimoni en 2012), ses travaux portaient sur l’articulation des niveaux de décision et d’action sur des échelles locales, régionales et internationales, analysant les implications plus vastes (politiques, économiques, etc.) dans le cadre de la mondialisation.
Elle étudie aujourd’hui les pratiques culturelles et leur reconnaissance aux niveaux national et international, et comment ces pratiques peuvent devenir sources de conflits politiques entre l’Indonésie et la Malaisie… et parfois même au sein de ces États, entre les diverses communautés impliquées.
Son travail de terrain porte essentiellement sur Java Ouest.
Sarah Andrieu a été chargé de cours (ATER) à l’EHESS entre novembre 2010 et août 2012 (département d’Anthropologie Sociale et Ethnologie).
Sa thèse remaniée est en cours de publication aux Presses Universitaire de Rennes.